Concernant les modes de fonctionnement, ou les politiques de clubs, je ne vois pas d'autre voie initiale que la formation.
Les petits clubs doivent former de bons joueurs pour les revendre s'ils veulent se faire beaucoup d'argent, ou bien les garder pour faire progresser l'équipe.
De la même manière, les grands clubs vont profiter de leurs infrastructures de pointe pour former vite et bien, et se faire pas mal de tune à la sortie ; ou tout simplement préparer l'avenir du club.
A l'heure actuelle, je ne vois pas d'alternative à ce mode de développement qui est simple et efficace pour tout le monde.
Une politique 70% transferts - 30% formation, c'est risqué autant sur le plan sportif que financier, et il faut avoir suffisamment d'argent pour pouvoir la lancer. Or, c'est pas des sponsors ni de la billetterie que ça peut venir.
Pour les infrastructures, c'est dommage des les enlever, il aurait peut-être fallu réfléchir au fonctionnement des boutiques, avec des stocks de maillots, d'écharpes et de vuvuzelas à distribuer !

Dans la continuité de tout ce qui est économie/logistique, il faudrait réfléchir à un nouveau système pour les vedettes.
Créer plus de profils vedettes (une trentaine).
Les répartir par paliers (vedette nationale, internationale, légende).
Campagnes communications dont le prix varie de cher à très très cher, contraintes par le niveau d'attractivité du club, ses performances (qualifs en coupes confédérales) et les performances personnelles du joueur (ex : un attaquant légende ne peut être créé qu'à partir de X matches joués en ayant marqué N buts...).
Une vedette garde son statut à vie (même après transferts), mais son statut peut progresser (passage de nationale à internationale possible).

Et dernier point : va falloir penser à se débarrasser de la pyramide.
