stand by me a écrit :Je ne me permettrais pas de juger tes facultés mentales, mais un petit effort en orthographe jouerait en ta faveur.
Et bien cela ne sera pas possible .
stand by me a écrit :En ce qui concerne le débat, je répète que les clubs prêteurs sont toujours en situation de force par rapport aux clubs emprunteurs. Choix de la durée, possibilité de rappeler le joueur sans prévenir, et surtout (et c'est une évidence) choix des membres de l'effectif pouvant être prêtés ou non, et à quels clubs.
En revanche, le club emprunteur doit démarcher les équipes de L1 pour obtenir de bons contrats (NPA>85) et doit se soumettre aux éventuelles exigences du prêteur. De plus, il lui est impossible de faire de bons résultats à long terme sous ce mode de management. Pourquoi ?
1) Si un joueur est vraiment bon, il sera rappelé par son club d'origine,
2) S'il n'est pas rappelé, c'est que son club d'origine est très fourni. Ça arrive. Mais pour UN club, dans UNE confédération, pour que cette situation s'étende à 8 joueurs, il y a soit copinage, soit un niveau de L1 extrêmement relevé. On en arrive donc au troisième point,
3) Concurrence quasi-impossible avec la L1 par effet du 4 :
4) Quasi-impossibilités de développer l'effectif "maison" par dépendance aux joueurs prêtés, joueurs sans statut => staff faible => formation faible. Au mieux, stagnation entre L2/L1.
Je suis ravi de lire que je ne suis pas comme tout ces clubs qui prêtent leurs joueurs en étant vache .
stand by me a écrit :Un club de L3 qui brille avec 10 prêts, c'est un manager malin (ou opportuniste selon le pt de vue) qui doit garder en tête qu'il s'agit là d'un mode de transfert précaire.
Ah ben mes félicitations a eux alors. , continuer à avoir une équipe que de joueurs emprunter
