votre dernier film
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Re: votre dernier film
Un super navet avec Jean Reno: Cold Blood Legacy
rien d'intéressant, pas de scenar, un Reno sans crédibilité dans ce rôle
http://www.allocine.fr/article/ficheart ... 80663.html
0/10
rien d'intéressant, pas de scenar, un Reno sans crédibilité dans ce rôle
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Re: votre dernier film
JOKER TIRE LÀ OÙ ÇA FAIT MAL
Bientôt culte ?
Bientôt culte ?
Ça commence comme un Orange Mécanique à l'envers. Puis se dévoile un anti-héros mentalement estropié, mi-dostoïevskien mi-houellebecquien, un "cas social" triste et malchanceux aux faux airs de Louis-Ferdinand Céline. Armé d'un revolver par un collègue qui lui veut du bien, Arthur Fleck, le sage et éternel citoyen de Gotham City, devient, de fil en aiguille, ce "mec qui pète un plomb après en avoir pris plein la ghueule".
Une intrigue pleine de potentiel, dans la lignée des célèbres déchéances cinématographiques, d'Orange Mécanique à Fight Club en passant par Taxi Driver ou Chute Libre, pas loin de la démence absurde, par delà bien et mal, engendrée par le béton glacial du Buffet Froid de Blier, avec en prime de lointains échos psychiatriques du Vol au-dessus d'un nid de coucous de Forman.
Une intrigue pleine de potentiel, dans la lignée des célèbres déchéances cinématographiques, d'Orange Mécanique à Fight Club en passant par Taxi Driver ou Chute Libre, pas loin de la démence absurde, par delà bien et mal, engendrée par le béton glacial du Buffet Froid de Blier, avec en prime de lointains échos psychiatriques du Vol au-dessus d'un nid de coucous de Forman.
D'une manière de partir en vrille ...
... à une autre ...
Allégorique, actuel, pertinent, touchant, grinçant, Joker entrerait presque en résonance avec l'Occident amoral, sale et décadent.
Presque seulement, parce qu'à en attendre trop d'un scénario aussi prometteur, on reste en définitive un peu sur notre faim, comme à la sortie d'un bon plat manquant de deux ou trois ingrédients pour pouvoir s'avérer vraiment parfait.
Le fait qu'Arthur Fleck ne soit pas, à la base, un homme ordinaire, mais bien précisément extra-ordinaire, nuit un peu à la consistance du message porté à l'écran. Pourquoi se focaliser uniquement sur un pauvre type handicapé, alors que lui-même l'affirme, la folie est absolument partout dans ce monde "civilisé" !
La caméra se braque sur le clown infirme, mais ne fait que survoler les gens ordinaires qui le hisseront finalement en idole d'un mouvement social d'une ampleur stupéfiante, générant en bouquet final l'embrasement de Gotham City. Il y avait pourtant une sacrée belle ficelle à exploiter de ce côté-là, en liant destins individuels et destins collectifs, dans la représentation anachronique des cités à la dérive de l'Amérique de Trump.
Presque seulement, parce qu'à en attendre trop d'un scénario aussi prometteur, on reste en définitive un peu sur notre faim, comme à la sortie d'un bon plat manquant de deux ou trois ingrédients pour pouvoir s'avérer vraiment parfait.
Le fait qu'Arthur Fleck ne soit pas, à la base, un homme ordinaire, mais bien précisément extra-ordinaire, nuit un peu à la consistance du message porté à l'écran. Pourquoi se focaliser uniquement sur un pauvre type handicapé, alors que lui-même l'affirme, la folie est absolument partout dans ce monde "civilisé" !
La caméra se braque sur le clown infirme, mais ne fait que survoler les gens ordinaires qui le hisseront finalement en idole d'un mouvement social d'une ampleur stupéfiante, générant en bouquet final l'embrasement de Gotham City. Il y avait pourtant une sacrée belle ficelle à exploiter de ce côté-là, en liant destins individuels et destins collectifs, dans la représentation anachronique des cités à la dérive de l'Amérique de Trump.
Le destin des mégapoles : ghettos pour millionnaires dans une décharge peuplée de zombies.
Ajoutez à cela un drame familial dégoulinant de pathos, plus deux-trois réactions de personnages moyennement crédibles, et l'on ressort avec un goût d'inachevé et le sentiment qu'un chef-d’œuvre nous a échappé des mains. Peut-être parce que tout a été misé sur le jeu d'acteur de Joaquin Phoenix au détriment de l'écriture...
Pouvait mieux faire, donc, mais l'essentiel est là.
Nous sommes tous des clowns. Vous êtes tous méchants.
Telle est l'inconciliable devise du Joker de Todd Phillips.
MON VERDICT : 15/20
Une bonne analyse plus approfondie (parmi d'autres) :
Pouvait mieux faire, donc, mais l'essentiel est là.
Nous sommes tous des clowns. Vous êtes tous méchants.
Telle est l'inconciliable devise du Joker de Todd Phillips.

Une bonne analyse plus approfondie (parmi d'autres) :
- jack le havrais
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Re: votre dernier film
Je suis allé voir Le Joker. Il ne fallait pas s'attendre à un film à grand spectacle comme les différents film tirés de l'univers Marvel ou Comics ont l'habitude de nous régaler.
Mais j'ai adoré ce joker , plus réaliste et plus proche de notre univers. Et que dire du jeu d'acteur de Joaquin Phoenix , tout simplement génial (à mon gout) . Bref , je me suis régalé.
Mais j'ai adoré ce joker , plus réaliste et plus proche de notre univers. Et que dire du jeu d'acteur de Joaquin Phoenix , tout simplement génial (à mon gout) . Bref , je me suis régalé.
- Lord casa
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Re: votre dernier film

Woody Harrelson, Jesse Einsenberg, Emma Stone


Un bon divertissement, pas non plus à lâcher des fous rire en pleine séance, mais un humour certain est présent, comme Rosario Dawson

Des caméos et Bill Murray ou Ray Park (Darth Maul) sont visibles. Bref, c'était super.
Lord casa est une légende sur FS... mais pas sur Défifoot !
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Re: votre dernier film
Parasite : film de l'année ?
C'est avec 6 mois de retard et dans mon canapé que j'ai pu apprécier le sud-coréen Parasite, histoire de voir si les critiques élogieuses à son égard étaient sensées...
Extraordinaire !
Un film dramatique finement mené, avec une trame balzacienne tant elle est empreinte de réalisme social et humain, ancrée dans son époque tout en étant intemporelle : l'action aurait très bien pu se dérouler dans l'Angleterre victorienne d'Oliver Twist, creuset du capitalisme le plus dévastateur, comme dans la Grèce œdipienne d'Eschyle, berceau des plus grandes tragédies.
Un film subversif, à la fois psychologique, sociologique, politique et dramatique.
Il est génial car c'est un des rares films à énigmes à ne pas se laisser aller à la facilité de mener le spectateur en bateau par un scénario en trompe l’œil qui vous fait croire une chose puis son contraire (Inception en est la caricature).
Il est subtil car il met à nu la catastrophe des rapports humains en système capitaliste avancé, sans jamais se vautrer dans une condescendance prête à l'emploi qui consisterait à rendre les pauvres sympathiques et les riches orduriers (de fait, c'est plutôt l'inverse : le riche joui d'un tel confort matériel qu'il semble vivre dans un autre monde, une bulle de sérénité protégée du besoin comme des pulsions mauvaises). Des rapports humains parasités par la terreur de manquer, des relations maître-esclave où ce sont les domestiques qui mènent la danse dans le dos de patrons aveugles...
La logique du désir mimétique, éternelle recette des intrigues dramatiques, fait une fois de plus naître la haine et la folie.
Je ne lui reproche que sa fin un peu trop "gentille" et moyennement crédible (le coup de la lettre en morse... c'est joli mais dans la vraie vie ça n'existe pas).
Quoiqu'il est tout à fait crédible qu'un sud-coréen, en bon asiatique qui se respecte, fidèle à sa race dépourvue de la moindre conscience radicale, n'ait d'autre ambition pour arriver à ses fins que d'être un bon salarié docile plutôt qu'un rebelle du Système. Un américain aurait réglé tout ça au revolver !
un bon 15/20 pour moi.


Un film dramatique finement mené, avec une trame balzacienne tant elle est empreinte de réalisme social et humain, ancrée dans son époque tout en étant intemporelle : l'action aurait très bien pu se dérouler dans l'Angleterre victorienne d'Oliver Twist, creuset du capitalisme le plus dévastateur, comme dans la Grèce œdipienne d'Eschyle, berceau des plus grandes tragédies.
Un film subversif, à la fois psychologique, sociologique, politique et dramatique.
Il est génial car c'est un des rares films à énigmes à ne pas se laisser aller à la facilité de mener le spectateur en bateau par un scénario en trompe l’œil qui vous fait croire une chose puis son contraire (Inception en est la caricature).
Il est subtil car il met à nu la catastrophe des rapports humains en système capitaliste avancé, sans jamais se vautrer dans une condescendance prête à l'emploi qui consisterait à rendre les pauvres sympathiques et les riches orduriers (de fait, c'est plutôt l'inverse : le riche joui d'un tel confort matériel qu'il semble vivre dans un autre monde, une bulle de sérénité protégée du besoin comme des pulsions mauvaises). Des rapports humains parasités par la terreur de manquer, des relations maître-esclave où ce sont les domestiques qui mènent la danse dans le dos de patrons aveugles...
La logique du désir mimétique, éternelle recette des intrigues dramatiques, fait une fois de plus naître la haine et la folie.
Je ne lui reproche que sa fin un peu trop "gentille" et moyennement crédible (le coup de la lettre en morse... c'est joli mais dans la vraie vie ça n'existe pas).
Quoiqu'il est tout à fait crédible qu'un sud-coréen, en bon asiatique qui se respecte, fidèle à sa race dépourvue de la moindre conscience radicale, n'ait d'autre ambition pour arriver à ses fins que d'être un bon salarié docile plutôt qu'un rebelle du Système. Un américain aurait réglé tout ça au revolver !


- federer52
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Re: votre dernier film
Merci pour ces retours Stand, Jack, Greg, Lord
Je garde en mémoire Parasite et Zombieland
Joker: rien à ajouter à la superbe critique de Stand presque aussi captivante que le film
De mon côté pas grand chose de valable: juste pour vous éviter des désillusions:
Terminator 27 (ou presque) Dark Fate: vraiment affligeant, un copier collé, remake du pauvre de la version originale; Fuyez si vous voulez garder une bonne image de l'original
Anna: Luc Besson a touché le fond et creuse encore, je n'ai pas tenu 30' en m'accrochant
Ce ne sont que des avis personnels assez succincts, mais franchement, cela ne vaut pas la peine de s'attarder
Je garde en mémoire Parasite et Zombieland
Joker: rien à ajouter à la superbe critique de Stand presque aussi captivante que le film
De mon côté pas grand chose de valable: juste pour vous éviter des désillusions:
Terminator 27 (ou presque) Dark Fate: vraiment affligeant, un copier collé, remake du pauvre de la version originale; Fuyez si vous voulez garder une bonne image de l'original
Anna: Luc Besson a touché le fond et creuse encore, je n'ai pas tenu 30' en m'accrochant
Ce ne sont que des avis personnels assez succincts, mais franchement, cela ne vaut pas la peine de s'attarder
Modifié en dernier par federer52 le lun. févr. 03, 2020 7:34 am, modifié 1 fois.
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Re: votre dernier film
J'ai regardé deux films coréens qui devaient être bons, Parasite et Old Boy. J'ai perdu mon temps dans les 2 cas.
Parasite et les pauvres qui pour arriver à une meilleure condition sociale n'hésitent pas à mentir et à devenir méchants... Pour moi un film assez bon les 20 premières minutes puis ça devient n'importe quoi, pas crédible pour un sou, pour aboutir à un final grotesque.
Old boy, pire encore, sauf pour ceux qui ne sont pas dérangés par les films malsains.
Du coup je ne me fierai plus jamais au palmarès du festival de Cannes pour choisir des films à regarder lol.
En relisant l'avis de stand je vois qu'apparemment on aime des choses diamétralement opposées, car j'adore inception ;)
Parasite et les pauvres qui pour arriver à une meilleure condition sociale n'hésitent pas à mentir et à devenir méchants... Pour moi un film assez bon les 20 premières minutes puis ça devient n'importe quoi, pas crédible pour un sou, pour aboutir à un final grotesque.
Old boy, pire encore, sauf pour ceux qui ne sont pas dérangés par les films malsains.
Du coup je ne me fierai plus jamais au palmarès du festival de Cannes pour choisir des films à regarder lol.
En relisant l'avis de stand je vois qu'apparemment on aime des choses diamétralement opposées, car j'adore inception ;)

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Re: votre dernier film
alex6464 a écrit :Parasite et les pauvres qui pour arriver à une meilleure condition sociale n'hésitent pas à mentir et à devenir méchants... Pour moi un film assez bon les 20 premières minutes puis ça devient n'importe quoi, pas crédible pour un sou, pour aboutir à un final grotesque.
Encore faudrait-il étayer un jugement aussi catégorique...
En termes de n'importe quoi pas crédible, Inception est quand même LA référence, non ?
Par rapport à Joker, avec le recul je serais moins élogieux : je confirme les réserves que j'avais émises.
Ce que je remarque aussi, c'est que le Système valorise les mises en scène de "voies de garage sociales" en situation de crise...
Dans le cas de Joker, c'est le délire narcissique d'un psychopathe qui est mis en avant ; la gesticulation solitaire, asociale, inconsistante, immorale et dangereuse est mise en lumière par rapport à une authentique lutte sociale collective qui sait où elle va.
Dans le cas de Parasite, c'est le repli tribal, la famille contre le reste du monde, et surtout ne remettons pas en cause les règles d'un système qui nous a mis dans la m*rde : mettons tout en oeuvre pour mieux duper et exploiter son prochain !
En termes de n'importe quoi pas crédible, Inception est quand même LA référence, non ?
Par rapport à Joker, avec le recul je serais moins élogieux : je confirme les réserves que j'avais émises.
Ce que je remarque aussi, c'est que le Système valorise les mises en scène de "voies de garage sociales" en situation de crise...
Dans le cas de Joker, c'est le délire narcissique d'un psychopathe qui est mis en avant ; la gesticulation solitaire, asociale, inconsistante, immorale et dangereuse est mise en lumière par rapport à une authentique lutte sociale collective qui sait où elle va.
Dans le cas de Parasite, c'est le repli tribal, la famille contre le reste du monde, et surtout ne remettons pas en cause les règles d'un système qui nous a mis dans la m*rde : mettons tout en oeuvre pour mieux duper et exploiter son prochain !
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Re: votre dernier film

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