Chose promise, chose due. Vous me pardonnerez la longueur du message mais il est difficile de parler d'évolutionnisme sans en dire un minimum.
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« L'évolution ? Un conte de fée pour grandes personnes ! » Jean Rostand
Invité a écrit:Si un modo passe par là, il pourra constater l'attaque personnelle qui m'est destiné.
Si quelqu'un veut bien faire ce qu'il faut, merci d'avance.
Le principe éternel du satanisme et de la dialectique marxiste est de cacher la Vérité par tous les moyens, y compris le mensonge, la censure et la coercition. Kairnon est là tout à fait dans son rôle de Commissaire politique. Il faudrait néanmoins, lui rappeler que ce ne sont pas les appels à la liberté qui rendent libres mais bien comme le disait notre Seigneur Jésus Christ connaître la Vérité car la liberté est la conséquence heureuse et logique de la Vérité :
« la vérité vous rendra libres. »Aborder la théorie de l’évolution quand on explore les arguments philosophiques et métaphysiques de l’existence de Dieu est effectivement une suite logique et c’est donc fort à propos que vous évoquez le sujet. Il est évident pour tout le monde que la preuve rationnelle de l’existence de Dieu ou tout le moins, la démonstration qu’il est plus rationnel de croire en son existence qu’en son inexistence ou qu’en l’existence d’un univers-Dieu païen passe forcément à un moment ou à un autre par la confrontation entre la Révélation de la Création et l’hypothèse de l’évolution. Et c’est là, avec l’héliocentrisme, l’un des deux grands murs érigés en barrière de la connaissance divine. Il y a là véritablement deux conceptions de la Vie qui s’opposent. C’est le sens du
« celui qui n'est pas avec moi, est contre moi » (Matthieu 12,30). Or, selon le principe de non contradiction, il n’y a jamais deux vérités. Donc, l’une des deux théories est fausse.
Une pensée unique et globale« Il n’y a que deux explications possibles concernant l’apparition de la vie: une génération spontanée selon l’évolution, ou un acte créateur surnaturel de Dieu (…) La génération spontanée a été prouvée erronée par Louis Pasteur et d’autres, il y a cent vingt ans, ce qui ne nous laisse qu’avec une seule autre possibilité – que la vie est apparue grâce à un acte créateur surnaturel de Dieu, mais je ne peux pas accepter cette philosophie parce que je ne veux pas croire en Dieu. Je choisis donc de croire à ce qui est impossible scientifiquement, une génération spontanée qui génère l’évolution. »G. Wald, Frontiers of Modern Biology on Theories of Origin of Life, New York, Houghton Mifflin, 1972 p.187, cité in Rex Russell, What the Bible Says About Healthy Living (Ventura, CA: Regal Books, 1996).
Vous aurez remarqué que, dans votre imaginaire, seule l’hypothèse évolutionniste présente un intérêt pour connaître la vérité puisqu’elle apparait comme la seule hypothèse scientifique donc le seul rationalisme, l’hypothèse créationniste étant reléguée à une vulgaire croyance d’un autre âge, voire considérée dans les médiats comme une dangereuse dinguerie. C’est ce qu’a bien résumé Lord Casa lorsqu’il dit :
Invité a écrit:« Il y a deux sortes de gens : ceux qui croient en Dieu, comme il a crée le monde etc (création), soit ceux qui pensent à l'évolution.(…) comment peut-on croire à la création ? Comment les gens ne peuvent-ils pas croire que les animaux étaient marins, avant d'être amphibie puis de tenter leurs chances sur la terre et d'y rester ? Comment ne peut-on pas croire qu'une partie des singes à évolué d'une manière différente qu'est devenu l'homme ? Se "réfugier" derrière une croyance que intel est intervenu dans tout ça, c'est assez étrange. »
Tellement étrange que les courants laïcistes occidentaux s’érigent en gardien de la vérité et de l’ordre public (à la mode de chez Kairnon) dès lors que surgit la moindre contestation des thèses « officielles ». Remettre en cause l'évolution, c'est remettre en cause les faits, la science, le progrès et promouvoir l'ignorance, l'obscurantisme et le fanatisme. C’est ainsi que la théorie évolutionniste guide et influence toute la recherche scientifique:
- Elle valide les sujets de recherche, et invalide ceux qui sur l’histoire de la terre et sur l’étude du vivant, ne vont pas dans son sens
- Elle approuve les résultats attendus et infirme les autres, prétendant être non représentatifs, ou des exceptions à la règle;
- Elle disqualifie et exclue les chercheurs n'étant pas animés de cette même foi;
- Elle monopolise le financement et les crédits de recherche provenant des états.
Quand on définit les tenants et les aboutissants d'une recherche, il ne faut pas s'étonner que celle-ci confirme ce que l'on attendait d'elle. Ainsi, les faits soi-disant démontrés et les récentes découvertes ne sont que des fruits pourris de cette démarche biaisée qui se proclame scientifique, et ne l'est pas du tout. Nous sommes face à une machine à fabriquer du faux à partir du faux, et qui prétend conférer la réalité à ce qui ne l'est pas et ne l'a jamais été.
« En raison de notre adhésion a priori à des causes matérielles, nous sommes contraints de créer un appareil d’investigation et un ensemble de concepts qui fournissent des explications matérielles, explications en flagrante opposition à l’intuition, et complètement hermétiques pour le non-initié. En outre, ce matérialisme ne peut être remis en question, car nous ne pouvons en aucun cas laisser un Pied Divin passer la porte. »R. Lewontin, Billions and Billions of Demons, The New York Review of Books (January 9, 1997).
Car, effectivement, si l'évolutionnisme s'est imposé aux consciences, ce n'est pas tant l'effet de l'amoindrissement du christianisme traditionnel que de la propagande forcenée orchestrée par un lobbying de confréries athéistes et franc-maçonnes. Celles-ci, pendant des années, ont œuvré afin que toute autre vision du monde que la leur disparaisse de la scène publique. L'évolutionnisme était la seule explication véritable et scientifique, parce qu'uniquement basée sur les principes matérialistes sur lesquels ils fondent toute leur idéologie. Il fallait donc imposer cette « Lumière nouvelle » cachée depuis des siècles !
Et c’est la raison pour laquelle l’hypothèse créationniste n’est jamais mentionnée comme théorie alternative à l’hypothèse évolutionniste, que ses défenseurs sont irrémédiablement écartés, voire détruits socialement, que c’est l’ignorance mais aussi la peur qui règnent dans les rangs et non la tranquillité nécessaire à la liberté d’études. L'évolutionnisme, en effet, se targue de science, mais il n'est pas scientifique. C’est du scientisme, une vision philosophique élevée au rang d'escroquerie intellectuelle.
Une fois cette donnée nécessaire de la réalité d’aujourd’hui expliquée, nous nous sentons dès lors plus à l’aise pour révéler la vérité sur les soi-disant preuves de l’évolution de l’homme.
Les fossiles« En dépit d’un triomphalisme conventionnel, les savants darwinistes ne sont toujours pas parvenus à produire les confirmations empiriques qu’ils cherchent : les archives fossiles montrent trop de discontinuité dans l’évolution, et les découvertes de la biologie moléculaire obligent à conclure, avec Yves Coppens, que “le hasard fait trop bien les choses pour être crédible”. Mais la crise qui secoue actuellement l’édifice darwinien reste largement ignorée du public. (...) Si le darwinisme continue d’être le catéchisme enseigné dans les manuels, c’est parce qu’il est l’unique concurrent à l’hypothèse d’une Intelligence créatrice (œuvrant éventuellement de façon progressive). Mais n’est-t-il pas lui-même un acte de foi, faisant du hasard un dieu créateur, alors même que la thermodynamique l’a reconnu comme le maître du chaos ? »Phillip E. Johnson, post-face du livre Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997)
Quand on veut étudier le mythe de l’évolution, il convient comme dans n’importe quelle démonstration scientifique de définir les termes. Or, vous pourrez toujours chercher dans la littérature scientifique, il n’existe pas de définition de l’évolution. Car l’évolution est, en réalité, composée de deux direction d’étude : la microévolution qui étudie les changements mineurs à l’intérieur d’une espèce tels que la couleur, la forme du bec, la taille, etc…et la macroévolution qui serait l’évolution d’une espèce à l’autre.
Selon Darwin, l’évolution serait une accumulation de variations légères et successives et donc qu’à ce titre
« le nombre de formes intermédiaires constituant les chainons de transition entre toutes les espèces vivantes et les espèces perdues a donc dû être infiniment grand ». Il était donc possible de confirmer la théorie par l’étude de fossiles. Si cette théorie était vraie, les fossiles auraient dû présenter une continuité entre toutes les espèces et l’on devrait trouver
« d’innombrables maillons de transition reliant les espèces ».
Darwin encouragea donc vivement la recherche des fossiles tout en prévenant que si dans l’avenir l’on ne trouvait aucun reste d’animaux ou d’espèce de transition, toute sa théorie tomberait à l’eau.
L’archéoptéryxLa recherche de fossile s’avéra décevante. Jusqu’à aujourd’hui, on ne découvrit que de rares formes de transition comme l’archéoptéryx, un intermédiaire entre les reptiles et les oiseaux Contrairement au bon sens qui voit dans le poids un obstacle à l'envol, les anthropologues pensèrent que les dinosaures bipèdes avaient acquis des ailes, leurs écailles étant devenues des plumes. Cette thèse, dite dinosaurienne, a été rapidement popularisée par les médias, si prompts à s'enthousiasmer sans rien chercher à examiner. Pourtant, nous sommes bel et bien devant une idée sans aucun fondement scientifique. Sir Fred Hoyle et une équipe de scientifiques ont affirmé que l’Archæoptéryx exposé au British Museum avait été fabriqué avec du plâtre et un peu de peinture sur une couche initiale de calcaire. Des empreintes de doigts des faussaires étaient même perceptibles ! Des spécialistes réputés de l'ornithologie comme Alan Feduccia ou Maurice Pomarède dénoncèrent le lien artificiel que l'on a fait entre les dinosaures et les oiseaux. L'anatomie de ceux-là n'ayant rien à voir avec celle des bêtes capables de voler. Or, l’archéoptéryx possédait déjà des ailes et des plumes aussi complexes que celles des oiseaux d’aujourd’hui et était capable de voler.
L’archéoraptorCette nécessité darwinienne de trouver un lien entre le dinosaure et l'oiseau est à l'origine d'une supercherie récente: L’Archaeoraptor.
En 1999, en Chine, dans la province de Liaoning, les restes d'une étrange créature, moitié dinosaure moitié oiseau, furent apportés par l'intermédiaire de paysans chinois. Aussitôt, la chose fut nommée archaeoraptor, et elle fut officiellement annoncée comme le «chaînon manquant» entre le dinosaure et l’oiseau. La presse s'empara de l'affaire. Le National Geographic épilogua sur l'Archaeoraptor liaoningensis et consacra le triomphe de la science.
Quelques semaines après, des chercheurs chinois annoncèrent que l’Archaeoraptor était un faux. Des paysans faisant la contrebande de fossiles avaient abusé la crédulité de «scientifiques» avides de prouver leurs thèses farfelues !
Le coelacantheLes darwinistes avancèrent que le cœlacanthe, un poisson que l’on croyait éteint depuis des millions d’années, était un intermédiaire entre les poissons et les amphibiens. Les nageoires du cœlacanthe étaient considérées comme une ébauche de membres ! La vessie natatoire qu'il possède était regardée comme une ébauche de poumon. Ses particularités étaient interprétées dans le cadre de l'idée d'une évolution progressive du poisson aux quadrupèdes terrestres. Cette croyance s’effondra en 1938 lorsqu’on repêcha, au large de l’Afrique du Sud, un spécimen de cœlacanthe que l’on croyait disparu ; l’étude de l’anatomie du poisson révéla que celui-ci n’avait rien de commun avec les amphibiens et qu’il n’était pas un intermédiaire.
Darwin reconnaissait les lacunes dans les documents fossiles :
« Bien que des recherches géologiques aient incontestablement révélé l’existence passé d’un grand nombre de chaînons qui ont déjà rapproché les unes des autres bien des formes de vie, elles ne présentent pas, entre les espèces actuelles et les espèces passées, toutes les gradations infinies et insensibles que réclame ma théorie, et c’est là, sans contredit, l’objection la plus sérieuse qu’on puisse lui opposer. »Les plus fervents adversaires de Darwin n’étaient pas, comme on pourrait le croire, les ecclésiastes, mais bien les paléontologues.
Darwin contourna le problème en interprétant le manque de chaînons de transition par l’« extrême imperfection » des documents fossiles de son époque.
Des générations de paléontologues ont recherché, depuis 150 ans, les formes de transition voulues par la théorie, mais en vain. Les recherches de fossiles ont, à l’inverse, mis en évidence l’absence d’intermédiaire entre les espèces.
Les faits réelsIl y a 600 millions d’années, période appelée le cambrien, il y eut une explosion prodigieuse du nombre de formes de vie. Les espèces ne sont alors pas apparues successivement, comme le nécessite la théorie, mais soudainement, déjà différenciées en groupe et sous groupe, sans que l’on puisse trouver le moindre ancêtre probable dans le précambrien.
Ce scénario s’est répété de nombreuses fois au cours de l’histoire de la Terre : pour l’apparition des plantes à fleurs, des poissons cartilagineux (raies et requins), des amphibiens, etc.…
A chaque fois, les espèces apparaissent en différents groupes bien distincts, sans qu’aucune espèce ne puisse être l’ancêtre l’une de l’autre. Steven Stanley, professeur à l’Université de Yale, écrit dans Macroevolution :
« les gisements fossiles connus ne fournissent pas un seul exemple témoignant de l’évolution graduelle en train d’accomplir une transition morphologique majeur et n’offrent donc aucune preuve de la validité du modèle gradualiste (Darwinien) ».
Pierre-Paul Grassé a écrit dans son livre Evolution of living organisms :
« Quiconque endosse la conception aléatoire de l’évolution admet que l’œil et l’oreille, pour devenir ce qu’ils sont, nécessitèrent des milliers et des milliers de hasards heureux, synchronisés au besoin de leur fabrication. Quelle est la probabilité d’une réussite si merveilleusement fortuite ? »Le mathématicien Ulam calcula l’impossibilité mathématique du Darwinisme : l’œil nécessitait un nombre de mutations tellement grand que le temps imparti pour son évolution ne suffisait pas.
Comment expliquer l’apparition de l’aile ? Celle-ci apparaît déjà toute formée chez l’archéoptéryx. Sachant qu’une aile à moitié formée ne permet pas de voler et qu’un membre postérieur à moitié transformé en aile ne permet plus de courir, de grimper aux arbres, de saisir des objets. Donc ne permet pas de survivre et d’évoluer. Quel avantage aurait donc pu procurer une forme intermédiaire entre les membres postérieurs et l’aile ? L’apparition de la plume est tout aussi mystérieux : encore une fois, aucun intermédiaire n’a été trouvé entre les écailles et la plume. Et, de plus, la plume nécessite d’être complètement formée, afin d’être suffisamment étanche et rigide pour permettre le vol.
La biologie moléculaireLes progrès de la biologie moléculaire ont fourni un moyen nouveau de tester la théorie de Darwin. L’étude du cytochrome c, une protéine présente chez tous les êtres vivants (employée à la production de l’énergie cellulaire) révéla que celui-ci était différent chez tous les êtres vivants. En comparant, sur la protéine, le nombre de positions où celle-ci diffère, il était possible de calculer un pourcentage de divergence entre les protéines de chaque espèce. Si la théorie de Darwin était vraie, on aurait dû trouver une séquence de protéines entre les espèces, et donc pouvoir déterminer quelle espèce est l’ancêtre de l’autre. Les résultats de ces études furent déconcertants : toutes les formes de vie, animale et végétale, sont à la même distance moléculaire de toutes les espèces unicellulaires. En d’autres termes, il n’existe aucune trace de la série évolutive poisson, amphibien, reptile, mammifère. Chaque espèce est unique, isolée, et non reliée à d’autres par des intermédiaires ; il n’existe aucune espèce biochimiquement primitive, aucune espèce ne peut être qualifiée d’ « ancêtre ».
Afin de sauver leur théorie, les darwinistes ont inventé l’ « horloge moléculaire », et prétendu que l’ADN diverge dans le temps selon une horloge interne. Le biologiste moléculaire Michael Denton, dans son livre « Evolution : une théorie en crise », explique l’impossibilité d’une telle prétention.
On a vu que toutes les espèces animales, comparé à un être unicellulaire, ont un taux de divergence égal de leur cytochrome c. Or, la souris ayant un cycle de reproduction cent fois plus rapide que celui de l’homme, elle devrait avoir un taux de divergence plus élevé que celui de l’homme. De même, le cycle de reproduction de la drosophile est un milliard de fois plus rapide que celui de la cigale, comment peuvent-elles alors avoir un taux de divergence égal ? Michael Denton ajoute :
« Il n’y a, tout simplement, aucune façon d’expliquer l’occurrence d’un taux d’évolution uniforme dans une famille de protéines homologues par le hasard et la sélection ; et même si l’on pouvait avancer une explication pour une famille particulière, resterait encore à élucider la raison mystérieuse pour laquelle les autres protéines auraient évolué à des vitesses différentes. Plus le problème est examiné en profondeur, plus il paraît insoluble en termes de hasard et de sélection.
Comment le processus aléatoire de l’évolution a-t-il pu aboutir à une structure aussi ordonnée que celle du vivant ? Malgré l’absence de réponse convaincante, l’idée du taux d’évolution uniforme est présentée dans la littérature comme si c’était une découverte empirique.
L’influence du paradigme évolutionniste est si puissante qu’une idée qui ressemble plus à un principe de l’astrologie médiévale qu’à une théorie scientifique sérieuse du XXe siècle est devenue une réalité pour les biologistes évolutionnistes. »La théorie de Darwin s’accorde parfaitement avec la microévolution, c’est-à-dire avec les changements mineurs tels que la couleur, la forme du bec, la taille, etc.… L’élargissement de cette théorie à la macroévolution relève, en revanche, plus de la croyance que de la science : Elle est incapable d’expliquer la formation d’espèces nouvelles, pas plus que la formation d’organes nouveaux. Elle est en contradiction avec l’apparition soudaine des espèces et les données de la biologie moléculaire. Elle ne peut expliquer ni l’apparition de la première forme de vie ni de la conscience. Alors pourquoi la théorie de Darwin a-t-elle connue tant de succès? Pourquoi fut-elle enseignée à des générations d’écoliers? Pourquoi influença-t-elle tellement notre vision du monde au 20ème siècle ? Parce qu’elle est l’unique théorie matérialiste pouvant rendre compte des origines de la vie. Abandonner la théorie de Darwin revient à abandonner toute compréhension matérialiste et moderniste de la vie. Les paléontologues et les biologistes darwinistes ont toujours essayé de l’illustrer par leurs travaux sans jamais la remettre en question, sans jamais vérifier par l’examen si la théorie était, oui ou non, possible : Etant la seule alternative possible pour les matérialistes, cette théorie devait forcément être vraie !
Ainsi Richard Dawkins, darwiniste convaincu, n’a pas de scrupules à écrire dans le « Gène égoïste » :
« La théorie est aussi peu douteuse que le fait que la Terre tourne autour du soleil. » Non, si l’évolution des espèces est un fait constaté par la paléontologie, la théorie de Darwin n’est qu’une théorie essayant de rendre compte de cette évolution, par le biais d’un processus exclusivement matérialiste : la sélection naturelle.
On a vu que la sélection naturelle ne s’accordait pas avec les faits, mais, plutôt que de rejeter leur théorie, les darwinistes ont préféré rejeter les faits, adoptant une attitude relevant plus du dogmatisme religieux que de la démarche scientifique. Dans Problems of Empiricism, Paul Feyerabend écrit en parlant du mythe darwinien de l’évolution qu’
« il continue d’exister uniquement par suite des efforts de la communauté des croyants et de ses chefs, ces prêtres aujourd’hui consacrés par le prix Nobel. Son succès est entièrement fabriqué. »Selon la théorie de Darwin, les modifications précédant la sélection naturelle, sont le fruit d’un processus aléatoire entièrement aveugle. Le hasard, et le hasard seul est à l’origine de l’évolution. Celle-ci ne peut pas avoir de but, et il ne peut pas exister de plan divin. Aucune intelligence surnaturelle n’agit sur le mécanisme de l’évolution, et l’homme ne serait plus l’aboutissement d’une volonté créatrice, mais le résultat d’une immense loterie. Impossible!
SatanismeLes conséquences et buts de la diffusion de l'évolutionnisme apparaissent alors plus claires à nos yeux. Non seulement la pensée évolutionniste aboutit logiquement à la négation de Dieu, et tente d'éloigner l'homme de son Créateur, mais plus perfidement, elle aboutit aussi à la négation de l'homme, ravalé au statut d'animal et nie donc la part spirituelle de l'homme et la divinité du destin qui est réservée à ceux qui auront cru.
"Bienheureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru" (Jean 20, 29)
ConclusionAucun cas réel de macroévolution n'a été observé. Aucune mutation n'a produit d'amélioration pérenne pour une espèce. Aucun organe nouveau n'a poussé. Aucune espèce nouvelle n'est apparue de mémoire d'homme. Le registre fossile n'a jamais montré d'espèce « intermédiaire », de « chaînon manquant ». Ce que l'évolution annonce n'a jamais trouvé un commencement de preuve. Alors qu’au contraire, quand on prend les éléments de la Genèse comme base préétablie à toute connaissance extrabiblique, aucune aberration n'en résulte. Les faits observés - sans réinterprétation idéologique - montrent une parfaite cohérence avec les données révélées.
A la lumière des deux derniers messages postés, celui sur la preuve rationnelle de l’existence de Dieu et celui sur l’évolutionnisme, on comprend mieux pourquoi Kairnon me traita d’ « homme dangereux » avec lequel il ne faut pas discuter pour ne pas avoir à l’entendre. D’autres, à ce propos ou sur d’autres sujets, diraient de nos jours que nous n’avons pas les mêmes valeurs (on rajoute généralement « républicaines »). C’est un fait. Mais, celui qu’on accuse de la rage est-il bien l’enragé ? N’y aurait-il pas là une formidable inversion accusatoire dans la droite ligne de celle que la foi en l’athéisme, le matérialisme communiste et le mensonge satanique imposés oblige les peuples à croire et, partant, cache la vérité éternelle, celle que la Bible, seul livre parvenu jusqu’à nous retraçant la véritable histoire et le véritable sens de la vie ? En défendant le créationnisme biblique, je rends témoignage à la vérité révélée et corroborée par les faits.
Enfin, pour en finir définitivement dans un grand éclat de rire, ce qui est le plus sûr moyen de guérir, voici l’excellente démonstration du sérieux de la théorie de l’évolution selon South Park :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=fWVjY7UAVc8