Idée proposée juste avant la réforme de la boite a idée, acceptée mais passée à la trappe lors de cette réforme.
Les recruteur ne servent à RIEN (je parle bien des recruteurs, pas des recruteurs de jeunes).
Leur redonner un intérêt ? Plusieurs pistes:
A - Le recruteur peut négocier des contrat avec des joueurs libres:
Il nous les propose avec une indemnité faible (voire nulle) et un salaire calculé selon le niveau et l'age du joueur. On prend ou pas, mais il faut que ce soit avantageux par rapport à ce qu'on payerait si on allait nous même le chercher dans la liste des joueurs libres.
B - Le recruteur nous propose un joueur sous contrat:
La encore, il faudrait qu'on ai un avantage par rapport au recrutement habituel. Pas simple, car il faut que celà ne pénalise pas le vendeur. On pourrait dire que la banque paye une partie du transfert, mais c'est assez peu réaliste.
B1 Une solution serait que, lorsqu'on vend un joueur, les intermédiaires prélèvent une part. Genre, sur un transfert, je met une offre à 100.000, seulmeent 80.000 vont au manager vendeur, le reste va aux intermédiaires.
Dans ce cas, le recruteur permettrait de réduire (ou annuler?) les frais en question.
B2 Autre possibilité: lorsqu'un recruteur propose un contrat, le manager vendeur est fortement incité a accepter. Par exemple, son joueur fait un gros pressing, pour partir. Il faut que le contrat soit proposé a un prix correct pour le vendeur, un salaire correct pour le joueur, et que le vendeur soit fortement incité. Par exemple, le joueur refuse de s'entrainer, et perd 10% de ses compétence momentannément, si le manager vendeur refuse. Le manager vendeur aurait toutefois la posssiblité de proposer une nouvelle somme, et defifoot déterminerait (sans qu'on sache a l'avance) si la somme est suceptible d'être considérée correcte par le joueur. Si oui, le joueur est content, son manager a accepté le transfert, et si l'acheteur ne donne pas suite, le joueur ne boudera pas, car c'est l'acheteur qui a renoncé, pas le vendeur. Si le vendeur est trop gourmand, le joueur campe sur sa position d'envie de départ. Au vendeur de trouver le bon compromis entre ce qu'il espère toucher, son envie de garder ou pas le joueur, et ce qu'il estime raisonnable et que le joueur devrait accepter. Un peu complexe, et c'est un peu le but, que ces transferts soient plus difficiles et réaliste.
Le B2 sucitera surement débat, mais c'est réaliste, les joueurs font souvent pression pour rejoindre un autre club.
Dans les deux cas, joueurs libre ou non, l'offre dure 3 jour, et si l'acheteur n'a pas donné suite, l'offre est annulée.