robcle59 a écrit:Salut à tous,
Premièrement, lors d'un prêt, le club
emprunteur paie bien 100% du salaire du joueur.
Par contre, je rejoins un peu Federer, mes clubs voient leur finances fondre (je fais plutôt parti des riches d'après ce que je vois) et cela m'inquiète également.
Par ailleurs, ma billetterie m'a rapporter 252 MT en ayant joué uniquement à l'extérieur pour le moment, du coup je me demande comment est alimentée la partie "Billetterie" de la caisse des clubs.
Les salaires me semblent extrêmement élevés, j'ai un joueur qui à lui seul me coûte pas loin de 38 MT par jour... Cela correspond à 80% de mes revenus boutique...
Et pour une majorité des clubs de niveau Elite (NPA > 94), les finances vont drastiquement baisser sans solution possible, si ce n'est vendre à des concurrents...jusqu'à atteindre l'équilibre financier...
D'après mes calculs rapides, un titre de champion Elite pourrait contribuer à payer les salaires des joueurs pour seulement 6 jours (base 300MT de salaire par jour) et 2 tours de Ligue des Champions vont payer un seul jour de salaire...
Je demande à voir, mais je me demande si la réforme a été parfaitement calculer avant de passer en Prod... Néanmoins je ne critique pas la réforme, elle oblige les managers à réfléchir plus, mais je reste assez inquiet de l'état des caisses des gros clubs.
federer52 a écrit:La fonte rapide des finances de tout le monde est inquiétante.
Beaucoup aiment recruter des jeunes (via leurs recruteurs) et les former et n'ont que peu recours aux transferts.
Ils se bâtissent, à force de rigueur et de ténacité, une belle équipe de +/- 30 joueurs de valeurs diverses, comme dans la réalité, répartis entre 16 et 35 ans, et ont plus ou moins de succès avec celle-ci.
Là avec cette réforme, ayant pour but de faire baisser les prix des transferts réalisés par d'autres, ils vont devoir sortir les calculettes pour former
et être contraints de vendre des joueurs chèrement formés à des prix bradés (puisque les prix vont baisser avec une offre massive obligée, et une demande nulle, puisque plus personne ne pourra acheter). Alors que se séparer d'un joueur dans lequel ils ont mis tant de temps pour le former du mieux possible est un crève-coeur
Il serait sage de recalculer très rapidement les valeurs des joueurs (et conséquemment leurs salaires)
vu que normalement, maintenant, plus personne ne peut acheter à des prix élevés, les valeurs devraient baisser.
Cela rendra soutenable de continuer à construire une équipe, sans excès financier, mais aussi sans être contraint de faire de la gestion financière alors qu'on a une politique de formation très sage de ce point de vue.
Bonsoir,
Le but principal de la réforme est d'équilibrer les finances de defifoot, et ce pour une raison simple: jusqu'à maintenant la richesse était créée en permanence (recettes bien supérieures aux dépenses), accumulée au fur et à mesure de l'ancienneté sur le jeu, et rendant ainsi l'écart entre un nouveau et un ancien quasiment impossible à combler (ou alors en très longtemps).
Je ne pense pas que le paramétrage global soit mauvais, je pense aussi qu'à terme, cette réforme peut être très intéressante pour tout le monde (regain d'intérêt pour les anciens, meilleure perspective de développement pour les nouveaux).
Là ou réside éventuellement le problème, c'est dans la situation de départ qui a servi au calcul de la réforme.
L'écart est trop grand entre les équipes présentes sur le jeu, et, surtout, il y a probablement trop d'inactifs pour que la prise en compte des finances globales soit fiable.
Trop d'équipes inactives sont prises en compte (même si nous avons compensé en utilisant la valeur d'une équipe de départ, ce qui est je pense logique, chaque inactif étant potentiellement remplaçable par une nouvelle équipe), ce qui fait baisser considérablement les bénéfices.
Un des grands principes de cette réforme est sa capacité à s'auto-réguler (via les salaires, basés sur les valeurs et prix de ventes des joueurs).
Mais cela prend forcément du temps. Et pendant ce temps les économies s'envolent, et on risque même, comme le dit jako, de mettre des managers dans une impasse trop brutalement.
Comme le dit fed, une des options pourrait être de recalculer plus souvent les prix des joueurs pour suivre au plus près leur variation.
Une autre option serait de laisser du temps à tout ça de s'équilibrer moins brutalement.
Il y a un compromis à trouver. Car actuellement, l'ensemble (à l'échelle globale) est équilibré, mais les bénéfices des actifs doivent être largement déséquilibrés.