Salut à tous. Je comptais faire une audit des caisses et NPA des managers à ce jour sur Defifoot mais cela prend plus de temps que prévu... (il y a quand même - que - 840 managers actifs...). Je la fournirai dès que j'ai fini.
Seuls chiffres communicables facilement :
- La moyenne de managers dans une confédération est de 80 managers (hors Conf. 1 - cf. point suivant - ; autrement dit, actuellement, seules les Elite et Pro sont actives).
- La Conf' 1 fait à elle seule 4 Conf. actives en terme de population , une aberration - du au fait qu'un nouveau manager est forcément en Conf 1... - qui influe forcément sur l'économie et la compétitivité générale du jeu (niveau des Compétitions, marché des transferts, dynamisme).
Alors que je fais des bons résultats avec mon équipe, je suis toujours en négatif (depuis le début des tests, - 2k Mt... Comme de nombreux managers de ce topic, je reste inquiet de la tournure prise pour cette réforme. Je m'attendais à une baisse des bénéfices - car je comprends le principe qu'un club performant gagne plus qu'un club en perdition - mais comme j'ai expliqué dans mon précédent post (et je suis d'accord avec Colix, toute économie crée de la valeur et de la richesse et c'est d'ailleurs le but de l'économie, produire de la valeur !), je ne m'attendais pas à voir l'ensemble des clubs tests se retrouver en négatif !!!
Plus on avance dans ces tests, plus je me dis qu'on part dans le mur et qu'on prend peut-être le problème sous un mauvais angle...
Avant tout chose, je conteste les propos disant qu'il n'y a eu une dérégulation du marché. Beaucoup mettent la faute sur la refonte des paris sportifs. En toute transparence, suite à cela, les Modérateurs ont, pendant 6 mois, inspectés tous les comptes du jeu et sanctionnés ceux ayant abusés de l'argent sale en remettant leur comptes à plat. A ce jour, près de 90% des managers ont moins de 50 000 Mt en argent disponible et seule une dizaine (que les Modérateurs savent très bien qui ils sont) sur les 840 managers actifs ont des ressources supérieurs à 100 000 Mt (cercle de managers et ressources qui fluctuent peu car les transferts sont souvent entre eux, par deal ou enchères).On aurait du commencer par des choses plus concrètes que l'argent : en premier lieu, le joueur même. La composition de sa valeur est à revoir. De mon point de vue, elle doit prendre en compte à 50% sa valeur physique (NPV, profil de progression, l'âge) et à 50% sa valeur "collective" (ex : moral, note moyenne du joueur, s'il joue beaucoup de matchs ou peu, son palmarès personnel, son statut dans le club actuel, la réputation du club, la performance du club sur les 5 dernières saisons). On collerait mieux à la réalité (un joueur arrivant dans un club perd en valeur car il n'est pas forcément de suite titulaire ou une vedette, il doit faire ces preuves). Ainsi, un jeune de 20 à 90 NPA avec 19/20 en profil de progression, qui se touche aujourd'hui à minimum 17-20 000 Mt, si on ajoute qui n'a joué aucun match cette saison (donc note à 0/100) et que 10 dans sa courte carrière, est gloire du club avec 3 titres de championnat, et joue dans un club avec 4 Championnats et 1 Coupe Confédérale (type LDC), descendrait à minimum 10 000 Mt. Par contre, s'il joue dans un club du type de federer, il serait plus autour des 13 000 Mt.
Dans la même lignée que Colix, j'appliquerai un +1/-1 sur le moral des joueurs suivant si le joueur joue ou pas un match. Impact bénéfique pour les clubs, la défaite ne serait sanctionné que d'un point de perte au moral au lieu de 2 actuellement (autre proposition : virer cette règle ou la mettre à V : +1/N : 0 / D : -1, ce qui rend la défaite sur le moral uniquement pour les joueurs ayant joué). Cela forcerait les managers à faire tourner leurs équipes s'ils ont de la profondeur de banc de qualité ou à vendre leurs joueurs vu que le moral rentre dans la valeur du manager.
Toujours dans cette optique, un refus de deal sur un joueur jouant moins de 30% des matchs (cela ferait < à 7 matchs sur une saison - sachant qu'un club joue majoritairement 20 matchs minimum (avec les TP de Coupes)) est sanctionné de 5 points sur le moral du joueur. Une exception, la règle n'est applicable qu'après la J6 de la saison (si c'est appliqué dès la J1, tous les joueurs sont forcément à 0% de matchs joués ; après la J6 cela implique que chaque joueur doit avoir joué au moins 2 matchs). TOUTEFOIS, il faudrait adapter l'outil de vente pour que le club recevant le deal puisse faire une contre-proposition. Dans ce cas, l'intention de vente du manager est pris et cela réduit la pénalité sur le moral à 2 points (s'il capote suite à la contre-proposition) à 0 sur le deal est conclu. Bonus : On peut ajouter comme critère, pour rendre la gestion des clubs plus complexe, que la perte du moral n'est récupérée qu'à moitié en fin de saison. En clair, si le joueur a perdu 10 points au cours de la saison car on a refusé deux offres alors qu'on ne l'utilise pas, la saison prochaine, il démarre à 95 de moral et non 100.
Déjà, juste avec ces points sur l'amélioration du point de vue "joueur", les joueurs à 35-50 000 Mt descendraient à 15-30 000 Mt - ou s'ils le restent, c'est qu'ils sont vraiment bons sur l'ensemble des critères collectifs.
Couplé à cela, une libération du marché des transferts, avec la modification des plafonds sur les deals, la possibilité de mettre plusieurs joueurs dans un deal, de réaliser un deal avec n'importe quel club du jeu, d'autoriser des prêts à coûts partagés ou associés à de vrais (physique et non un simple MP) obligations à respecter durant le prêt - nombre de matchs, entraînement, s'il est rappelable par le club préteur pour toute raison ou pas, s'il peut jouer contre le club prêteur, etc. -, des propositions que j'ai déjà évoqués dans d'autres posts.
En tout cas, n'ignorez pas les avis des joueurs, et encore plus des testeurs (conseil d'AMOA IRL). IG comme IRL, quand on travaille sur un projet ou sur un outil, si aucun utilisateur ne comprend l'évolution apportée et son bénéfice mais qu'on y va quand même, cela finit souvent mal (insatisfaction et rejet de l'outil)...