Autrefois, il me semble qu'on avait le choix de commencer avec une petite équipe de L3 ou bien de démarrer directement avec une grosse équipe 5 étoiles.
La deuxième option n'est plus possible aujourd'hui du fait de la structure verticale des confédérations.
Les NPA 95 se trouvent seulement en Élite et en haut du championnat Pro, plus quelques équipes anciennes mais tactiquement foireuses. Et il me semble que ça a toujours été plus ou moins le cas, la seule différence, c'est qu'avant la répartition des clubs était plus étalée entre les différentes chambres si bien qu'on avait des ligues 1 et ligues 2 moins homogènes (mais du coup avec quelques équipes fantômes, sans parler de la coupe Élite qui n'avait pas grand-chose d'élitiste). On pouvait accéder en L1 en 4 saisons avec une équipe 4 étoiles.
La seule option pour forcer quelques transferts ce serait d'intégrer un paramètre d'humeur sur les joueurs, qui impacterait le NPA selon que le joueur se sent bien au club ou s'il a envie de quitter l'équipe (par manque de temps de jeu, par manque de résultats...), avec un système de contrats et négociation des salaires. Ça s'inspirerait du système qui existait par le passé, mais de manière plus subtile.
J'avais aussi évoqué l'idée de primes sur résultats (on parie sur les objectifs de la saison) qui pourrait être combinée à ce système de contrats.
C'est parfait pour paralyser l'économie : les grosses équipes n'ont aucun intérêt à recruter des joueurs plus faibles et rechignent à vendre leurs joueurs même moyens, alors si on leur interdit le recrutement de bons joueurs, les transferts seront morts et enterrés (à part les prêts).
La deuxième option n'est plus possible aujourd'hui du fait de la structure verticale des confédérations.
Les NPA 95 se trouvent seulement en Élite et en haut du championnat Pro, plus quelques équipes anciennes mais tactiquement foireuses. Et il me semble que ça a toujours été plus ou moins le cas, la seule différence, c'est qu'avant la répartition des clubs était plus étalée entre les différentes chambres si bien qu'on avait des ligues 1 et ligues 2 moins homogènes (mais du coup avec quelques équipes fantômes, sans parler de la coupe Élite qui n'avait pas grand-chose d'élitiste). On pouvait accéder en L1 en 4 saisons avec une équipe 4 étoiles.
La seule option pour forcer quelques transferts ce serait d'intégrer un paramètre d'humeur sur les joueurs, qui impacterait le NPA selon que le joueur se sent bien au club ou s'il a envie de quitter l'équipe (par manque de temps de jeu, par manque de résultats...), avec un système de contrats et négociation des salaires. Ça s'inspirerait du système qui existait par le passé, mais de manière plus subtile.
J'avais aussi évoqué l'idée de primes sur résultats (on parie sur les objectifs de la saison) qui pourrait être combinée à ce système de contrats.
xpgSXG7IPSbaIyC5FcEzuJYJjmgT3DrcYJFLEZ1I0IUdB XywyctgtBMqFvItG9AX1YqSv84QrTvvwtbkGFyRQ== a écrit:il serait bon aux équipes avec un niveau supérieur entre 91 et 93 lui interdire d'acheter , des joueurs a un niveau élevé soit il investi sur la formation ou bien il se dirige sur des joueurs a niveau inférieur a 90 cela permettrait peut être a certaines équipes moins huppé d"'avoir leur chance pour des joueurs de haut niveau
C'est parfait pour paralyser l'économie : les grosses équipes n'ont aucun intérêt à recruter des joueurs plus faibles et rechignent à vendre leurs joueurs même moyens, alors si on leur interdit le recrutement de bons joueurs, les transferts seront morts et enterrés (à part les prêts).