MEE
Anderlecht sacré, Chelsea dans l'oubli
Aucune surprise pour le titre de champion !
Anderlecht s'impose fort logiquement au bout d'un championnat que les Belges auront maîtrisé presque de bout en bout ! Seule petite ombre au tableau si l'on souhaite être tatillon, c'est la défaite subie face à Manchester City. Mais bon sang, quelle belle saison de Wesh Wesh ! Assurément, on ne reverra pas de sitôt un si joli parcours Derrière, on retrouve Druine qui a finalement devancé la meute. On connaîtra désormais le Shakhtar comme le diesel le plus lent à la mise en route, mais sans doute le plus puissant une fois lancé ! Et c'est bien ici la marque de fabrique des grands managers, savoir se placer dans les derniers instants !
Enfin, c'est Aion qui décroche le dernier accessit pour la SEE. Dortmund, l'un des premiers leaders de la MEE, a fini par arrachée sa montée sur le fil, au grand regret de Boutchh qui a craqué sur la fin.Dans le bas du tableau, Timer sauve sa tête d'un cheveu, juste devant le Chelsea d'Isio. Cependant, les deux protagonistes ne sauront pas se satisfaire d'un tel championnat, car avec 7 et 8 points, nul doute qu'on préférera ne pas s'en souvenir...
Voyons en détails le classement final, avec les regrets et les espoirs que peut nourrir chacun. Anderlecht Comme évoqué dans le préambule, Anderlecht est logiquement sacré champion de cette nouvelle édition de la MEE. Auteur d'un parcours quasi parfait, les Belges, menés de main de maître par Wesh Wesh, ont laché quelques points en route, alors qu'ils étaient déjà assuré du titre.
Comment expliquer ce succès ? eh bien prenons une recette simple : meilleure attaque et de loin la meilleure défense. A partir de là, vous avez les grandes clés du succès.
Mêlez à cela l'empreinte d'un manager expérimenté, et c'est une saison histoire pour le club du plat pays qui s'est achevée.
Toutes nos félicitations à Wesh Wesh, à qui on ne contestera aucunement le titre, tant il est logique qu'il lui revienne.
Shakhtar Les dirigeants ont du longtemps se demander si Druine n'était pas grillé, en vieux manager qu'il est. Si on connait le principe du diesel, il est possible d'en connaitre la version extrême, humanisée par Druine.
Bloqué dans les starting blocks, Druine a patiné au démarrage. Mais une fois lancé, il a su se montrer efficace et a développé toute sa puissance, tout son savoir, pour faire tomber ses adversaires les uns après les autres. Avec la 2e attaque et la 2e défense, Druine s'incruste logiquement derrière Wesh Wesh, et fait un beau dauphin.
Attention toutefois en SEE, car un démarrage aussi poussif risque de ne pas pardonner. Pour être champion, comme l'a prouvé Anderlecht, c'est la constance des résultats qui prime.
Mais pour l'heure, Druine et les Ukrainiens sont à la fête, et ils comptent bien en profiter
Borussia Dortmund Nous vous le rappelions il y a quelques temps, le Borussia était l'une des rares équipes à ne pas connaitre les matches nuls, et cela pouvait compter. Eh bien, c'est le cas, puisqu'avec un seul match nul, Dortmund a su, la plupart du temps, prendre le dessus sur ses adversaires (11 victoires.)
Alors qu'on les croyait quelque peu lâchés dans le championnat, après un gros passage à vide, l'ex-leader du championnat à su aligner une dernière ligne droite de toute beauté pour coiffer le Celtic et Naples sur le poteau. Avec 1 point d'avance sur ces derniers, c'est bien Aion qui décroche son billet, mérité, pour la SEE
NaplesNaples, c'est tout ou rien. Seule équipe à ne pas avoir connu le match nul durant tout ce championnat, les Italiens échouent dans la quête à la montée pour... 1 petit point. Un match de trop de perdu pour Boutchh, qui aurait sans doute obtenu son billet pour tout autre résultat qu'une défaite.
A plusieurs reprises sur le podium, Boutchh n'a pas réussi à être suffisamment constant sous la pression. A la mi-championnat, on pensait pourtant qu'il en était le plus apte, mais finalement, c'est Aion s'est montré plus fort que lui.
Alors, certainement que Naples ruminera longtemps chacune de ses défaites, afin de voir où il était possible d'aller pêcher ce petit point, qui lui fait cruellement défaut à l'issue du championnat
CelticNous évoquions le Shakhtar comme étant un diesel long à la détente, ce fut également le cas pour Nicolo.
Auteur d'un début de saison très difficile, il a repris ses marques et a su s'imposer en manager d'expérience et de qualité qu'il est. Malheureusement, le réveil fut trop tardif, et il n'a parfois pas utiliser les moyens pour concrétiser ses ambitions. Avec 35 buts marqués, le Celtic possède la 5e attaque, les 4 premières se trouvant devant lui. Avec de l'audace, les Ecossais auraient sans doute pu aller chercher le podium, au pied duquel ils échouent pour un petit point.
Alors, assurément, on nourrira quelques regrets chez le Celtic, mais au vu du début de saison, c'est finalement une belle place d'honneur qu'occupe le club. Désormais, Nicolo connait toute l'importance de bien entrer dans une compétition
Standard de LiègeC'est peut-être l'une des belles surprises de la saison. Après un début de saison poussif, Théo est parvenu à se hisser à un haut niveau, malgré une faible attaque mais une solide défense. Théo a donc su trouver le bon compromis, au bon moment, pour engranger les points. Echouant pour seulement 4 petits points, Théo regrettera sans doute son début de saison, où il a trop longtemps végéter dans le bas du classement.
En tous cas, c'est une belle saison pour le Standard, et les dirigeants évoquent une prolongation de contrat pour Théo. Ce serait somme toute mérité !
Maintenant, il parait aussi que des clubs plus fortunés, tels que des clubs relégués, feraient les yeux doux à Théo
BesiktasQuel gâchis cette saison ! Longtemps bien placés, les Turcs ont fini par craquer. S'ils présentent un goal average positif, ils ont été trop irréguliers, terminant avec autant de victoires que de défaites (8). A égalité de points avec City.
Le problème de Yak's, c'est sans doute d'avoir perdu trop de confrontations face à ses adversaires directs. Car avec seulement 6 points de retard sur Aion, qui prend la 3e place, on peut se dire qu'il y avait la place.
Seulement, il semblerait que le Besiktas n'avait pas encore les épaules pour supporter une telle saison. Malgré tout, échouer si près du podium doit rester une satisfaction et être une base solide de belles ambitions à l'avenir
Manchester CityPres9999 occupe la dernière place de la meute. A seulement 6 points du podium, il montre à quel point cette MEE était serrée ! Trop irrégulier (7V - 7N - 6D), City affiche un autre problème, celui d'avoir marqué autant de buts qu'il n'en a encaissé (32).
S'il n'y aura pas grand chose à retenir de cette saison, Pres pourra toujours se dire qu'il aura été le seul manager capable de faire tomber l'indétrônable leader, Wesh Wesh. Et quand on connait le niveau affiché par ce dernier lors de la compétition, c'est finalement une belle consolation
VillarealComme annoncé depuis quelques temps, Villareal fini dans le ventre mou du classement. Ventre mou qu'il constitue à lui seul en fait. Loin de ses prédécesseurs et de ses poursuivants, l'irrégularité des Jaunes aura eu raison de sa saison. Baraja a connu un début de saison très délicat, et sa piètre attaque en témoigne. 23 buts en 20 matches, c'est trop peu pour espérer accrocher une belle place.
Si les Espagnols parviennent à l'avenir à être efficace devant quand ils le sont derrière, alors ils auront une chance de mieux figurer la prochaine fois. C'est du moins tout le mal que l'on peut leur souhaiter
BâleTriste saison pour les Suisses. Jamais dans le coup, Timer a lutté tout au long de la saison avec Isio pour éviter la relégation. Efficace au moment opportun, c'est d'une courte tête, et pour une victoire supplémentaire, qu'il parvient à accrocher sa place dans la MEE.
Cependant, avec la pire défense du championnat, nul doute que Timer et ses dirigeants ne sauraient se contenter de tels résultats. Il y a du travail à fournir avant de pouvoir jouer un rôle majeur dans cette compétition, des plus relevées s'il en est
ChelseaChelsea aura été à l'agonie durant tout le championnat. Malgré un petit sursaut au début du championnat, où il a été hors de la zone de relégation, Isio n'aura pas pu sauvé son club de la relégation. Avec une seule petite victoire, il occupe la 11e place. Pire attaque et avant-dernière défense, les Blues ont pourtant connu moins de défaites que les Suisses. Mais c'est bien connu, ce sont les victoires qui font avancer, pas les matches nuls. Dommage, ce n'était pas loin pour Isio, qui aura peut-être quelques regrets sur certains matches, où un simple match nul lui aurait assuré le maintien
Malheureusement, Benfica a été exclu de la MEE pour absence prolongée, c'est la seule ombre au tableau pour ce championnat. En tous les cas, félicitations à tous pour vos parcours (enfin à certains plus qu'à d'autres ) et pour votre assiduité. Et qui sait, pourquoi pas se croiser lors d'une prochaine MEE
Bon vent à tous