[Ligue 1] Lille Olympique Sporting Club

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Lille Olympique Sporting Club

Date de fondation : 23 septembre 1944, de la fusion entre l’Olympique Lillois et le Sporting Club Fivois

Siège : Domaine de Luchin, Grand Rue, BP 79, 59780 Camphin-en-Pévèle

Couleurs à domicile : Maillot rouge, short et bas bleus

Couleurs à l’extérieur : Maillot blanc, short et bas blancs

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Le LOSC de 1944 à nos Jours

L’histoire du LOSC, passionnante, est riche en rebondissements. Les plus anciens chérissent comme un trésor le palmarès des années 40 et 50, les plus jeunes vibrent toujours à l’évocation de la remontée en D1 en 2000 et aux exploits lillois lors des fabuleux périples au pays de l’UEFA Champions League...

Mais saviez-vous que le LOSC, dont la notoriété est européenne, a été créé le 23 septembre 1944 ? Pouviez-vous imaginer que le club de Michel Seydoux, aujourd’hui en plein essor, est né d’une simple fusion entre deux clubs locaux, l’Olympique Lillois et le Sporting Club Fivois ? Qu’il a souvent navigué entre première et deuxième Division ?

Oui, l’histoire du LOSC est captivante et mérite amplement qu’on y revienne, rien que pour saluer la mémoire et le travail des présidents, entraîneurs, joueurs successifs qui, au fil des générations, ont apporté leur pierre à l’édifice qui se bâtit aujourd’hui sous nos yeux. Si l’Histoire se joue maintenant, elle plonge ses racines au cœur d’un passé qui mérite tout notre respect.


De 1945 à 1964 : La période faste du LOSC

23 Septembre 1944
Création du Losc
Fusion entre deux clubs locaux, l’Olympique Lillois et le Sporting Club Fivois

Dimanche 15 avril 1945
Coupe de France, demi-finale au Parc des Princes, Lille-Toulouse (4-0)

6 Mai 45
Première finale de la coupe de France : défaite face au RC Paris 3-0

Saison 45-46
Vainqueur de la coupe de France et Champion de France de première Division



Saison 46-47
Le LOSC ne termine qu’à la 5e place du championnat en 1946-1947 mais poursuit sa belle histoire avec la Coupe de France avec un 2e succès de suite en finale face à Strasbourg (2-0).



Saison 47-48
L’épopée ne s’arrête pas en si bon chemin puisque Lille engrange en 1947-1948 sa 3e Coupe de France consécutive après une victoire face à Lens (3-2), agrémentée d’un titre de vice-champion de France.



Saison 48-49
En 1948-1949, le LOSC dispute sa 5e finale de suite mais la belle série prend fin après une défaite face au RC Paris (5-2)

Années 49 à 51
Le club nordiste poursuit son ascension vers les sommets avec une place sur la 2nde marche du podium en championnat les deux saisons suivantes (1949-1951), et une finale de Coupe Latine perdue face au Milan AC (0-5).

Saison 52-53
Vainqueur de la Coupe de France face à Nancy (2-1) en 1952-1953



Saison 53-54
Lille devient champion de France pour la 2e fois de son histoire avec une défense qui n’encaisse que 22 buts en 34 rencontres, la meilleure de l’histoire du LOSC.

Saison 54-55
5e victoire en Coupe de France



Années 1955 à 1964
Une belle époque se termine, le LOSC descend en division 2 au terme de la saison 1955-1956 après un match de barrage perdu face à VA. Mais l’heure de la revanche sonne après une saison de purgatoire dans l’antichambre de l’élite avec une 3e place et un barrage victorieux face à Rennes, avant de sombrer avec une nouvelle relégation en 1958-1959. Malgré une longue traversée du désert, les jeunes assurent la relève avec une victoire en Coupe Gambardella en 1960. Il faut attendre la saison 1963-1964 pour que le LOSC retrouve son lustre d’antan avec un titre de champion de division 2 et une remontée au sein de l’élite après avoir pris les commandes du classement dès la 2e journée.

De 1964 à 1974 : Bonjour tristesse, et puis la lumière

Saison 64 à 68
En 1964-1965, le retour au sein de l’élite se déroule en douceur avec une honorable 9e place en championnat. Saison 1965-1966, le LOSC sauve sa place de justesse à l’issue d’un match mémorable : cette incroyable lutte face à Bastia. Hélas, une crise financière et sportive va ensuite plonger le LOSC dans les eaux troubles où navigue souvent le spectre de la relégation... Elle sera inévitable et survient au terme de la saison 1967-1968.



Saison 68-69
Le club accroche une 13e place en division 2 dans l’anonymat le plus total... Las, le club renonce au professionnalisme le 23 juin 1969. Ainsi, pour la première fois depuis 1932, Lille n’a plus de représentant dans le championnat professionnel.

Saison 70-71
Le LOSC repart alors sur des bases entièrement nouvelles en Championnat de France Amateur (C.F.A.) et devient Champion National du groupe nord en 1970-1971, obtenant au passage son billet pour l’élite.

Saison 73-74
La roue tourne, mais dans le bon sens cette fois, dès la saison 1973-1974. Exemplaire, le LOSC retrouve de belles couleurs et remporte un titre de champion de Division 2 après une série de... 25 matchs sans défaite.

De 1975 à 1984 : Un nouveau Stade et des résultats qui font le yoyo

Saison 1975-1976
La saison 1975-1976 est celle d’un adieu, et il est forcément nostalgique. Cette année-là, les Loscistes saluent une dernière fois le stade Henri Jooris, témoin de la période faste du LOSC, pour laisser place au stade Grimonprez-Jooris. L’enceinte flambant neuve du LOSC est inaugurée le 28 octobre 1975 lors d’une rencontre face au Feyenoord Rotterdam (1-1).





Saison 76-77
Les résultats sportifs font le yoyo et Lille, à nouveau, descend en division 2 au terme de l’exercice 1976-1977.

De 1977 à 1979
Le club remonte avec un nouveau titre de champion de division 2 à la clé.
Pierre Mauroy inaugure un centre de formation dans l’enceinte du stade, un bel outil de travail pour l’avenir. Le club termine à la 6e place en championnat, la meilleure depuis celle obtenue en 1957-1958 !

De 1979 à 1984
En 1979-1980, le portier du LOSC, établit un nouveau record d’invincibilité avec la bagatelle de 481 minutes sans encaisser de but. La saison suivante, 1980-1981, le LOSC devient une SAEM, une société d’économie mixte en collaboration avec la Mairie de Lille. Entre 1979 et 1984, le club navigue en championnat entre la 9e et 17e place...

De 1985 à 1997 : Le LOSC se cherche et se perd

1984-1985
Georges Heylens prend les commandes de l’équipe à l’aube de la saison 1984-1985 pour un bail qui durera 5 ans. Pour sa première année sur le banc lillois, le technicien belge hisse l’équipe en demi-finale de la Coupe de France, avant de s’incliner contre Monaco (0-2, 1-0).
Et pour le 40e anniversaire du LOSC, le club s’offre un succès de prestige face au voisin lensois (2-0).



1986-1987
En 1986-1987, les fidèles du stade Grimonprez-Jooris assistent à la lente éclosion d’un futur champion du monde, Bernard Lama.

1988 à 1990
Lors de la saison 1988-1989, les cadets du LOSC sont champions de France pendant que l’équipe première, emmenée par un virevoltant Abedi Pelé termine à la 8ème place en championnat. Jacques Santini succède à Georges Heylens à l’aube de l’exercice 1989-1990. Après une première saison décevante, l’ancien sélectionneur des Bleus hisse le club à la 6e place, la meilleure obtenue depuis 1979 !

1990 à 1997
La confirmation n’est pas au rendez-vous et Bruno Metsu (1992-1993), Henry Kazperczak et Pierre Mankowski (1993-1994), Jean Fernandez (1994-1996) ou Jean-Michel Cavalli et Hervé Gauthier (1996-1997) ne parviennent pas à extraire le LOSC des profondeurs du classement. La sanction tombe au terme de la saison 1996-1997 après une peu glorieuse 19ème place en championnat : Lille est une nouvelle fois relégué en division 2.

De 1998 à 2002 : Rien ne sera plus jamais comme avant

1997-1998
Thierry Froger, élu meilleur entraîneur de L2 avec Le Mans, va faire un passage éphémère au LOSC lors de la saison 1997-1998. Cette saison-là, l’équipe échoue d’un point aux portes de la montée devant Sochaux. Le LOSC reste bloqué en L2. Reconduit dans ses fonctions malgré cet échec sur le fil, Thierry Froger ne résiste pas au départ calamiteux des Dogues en 1997-1998 avec une 17e place après 6 journées de championnat.

1998-1999
Ancienne gloire de Nantes et du PSG, Vahid Halilhodzic est alors intronisé à la tête du LOSC pour redresser la barre d’un navire à la dérive. Rigoureux et exigeant, le Bosniaque parvient à insuffler un nouvel élan dans le Nord et Lille se hisse finalement à la 4ème place.
Le club est privé d’une accession salvatrice en raison d’une moins bonne différence de but que Troyes (3e ex-aequo avec 64 points). Si la déception est énorme, le public est conquis par la combativité manifestée par les joueurs.

1999-2000
La saison 1999-2000 est celle du succès le plus fou. Les Dogues survolent le championnat, terminant sur la plus haute marche du podium avec seize points d’avance sur Guingamp (2e) et dix-neuf sur Toulouse (3e). Le président Bernard Lecomte et Vahid Halilhodzic, « le sauveur », sont salués par 16 000 personnes à Grimonprez-Jooris en compagnie des héros de la montée lors de la dernière journée face à Laval, le 20 mai 2000

2000-2001
Les deux nouveaux propriétaires du club sont Luc Dayan et Francis Graille (la Mairie a cédé le club en 1999 au secteur privé)
Sportivement, les Dogues réalisent un parcours de rêve lors de la saison 2000-2001 pour leur retour au sein de l’élite. Le promu nordiste tutoie les sommets tout au long de la saison et termine 3ème du championnat, une place synonyme de tour préliminaire de Ligue des Champions.

De 2002 à 2008 : L’histoire s’écrit avec un grand LOSC

2002-2003
Claude Puel hérite d’une équipe décimée de ses cadres. Le nouveau technicien du LOSC sort tout juste d’une année sabbatique et se replonge dans le grand bain de la Ligue 1 avec Lille.
Lille termine néanmoins 14ème en 2002-2003 après avoir assuré son maintien dans la douleur



2003-2004
10ème en 2003-2004, récoltant au passage une place en Intertoto.
Cette saison reste mémorable aussi pour les supporters car c’est le 15 mai 2004 que les Dogues disputent leur dernier match à
Grimonprez-Jooris, face à Bastia (2-0). Pour l’anecdote, c’est Matt Moussilou qui marque dans le temps additionnel, et devient pour l’éternité le dernier buteur dans cette enceinte...
Le LOSC évolue dès cette période au Stadium Lille Métropole depuis l’annulation du projet Grimonprez-Jooris II. De son côté, le nouveau projet de Très Grand Stade avance dans la difficulté.

2004-2005
En 2004-2005, les Loscistes terminent dauphins du cham¬pion lyonnais. Vainqueur de l’Intertoto Cup face à l’Uniao Leiria (0-0, 2-0 a.p.), le club nordiste sort en tête de sa poule en UEFA Cup, devant le FC Séville, avant de s’incliner contre Auxerre en 8e de finale (0-1, 0-0).



2005-2006
En 2005- 2006, les Dogues passent tout près de la qualification lors de la phase de poules en UEFA Champions League, signant notamment une victoire historique contre Manchester United (1-0) au Stade de France ! Reversés en UEFA Cup, les Dogues chutent sur le fil en 8e de finale face au FC Séville, le futur vainqueur (1-0, 0-2). Attendus au tournant en L1, ils arrachent la 3e place, synonyme de tour préliminaire de l’UEFA Champions League lors de l’ultime journée, à Rennes (2-2). Respect !
En 8e de finale, les Lillois - 10es au classement final en championnat - sortent la tête haute après deux prestations de haute voltige face à Manchester United (0-1, 0-1).





2007-2008
En 2007-2008, le géant Patrick Kluivert vient apporter toute son expérience à un groupe rajeuni et ambitieux. Les Dogues terminent 7es. Parmi les moments forts, notons la réception de Lyon au Stade de France, le 1er mars 2008 (0-1), pour une grande première en L1 devant 77 840 spectateurs. Un record d’affluence en ligue 1 !



13 septembre 2007
Inauguration de son nouveau centre de vie au Domaine de Luchin.

De 2008 à Aujourd’hui : Le LOSC tient son rang

2008-2009
En 2008-2009, désormais sous la houlette de Rudi Garcia, les Dogues poursuivent leur montée en puissance, signant notamment deux séries consécutives de 9 rencontres de L1 sans défaite (10 victoires, 8 nuls). Au Stade de France, les Nordistes reçoivent de nouveau le leader lyonnais. Devant 78 046 spectateurs (nouveau record d’affluence pour un match de L1), la victoire est au rendez-vous (2-0), mais l’histoire retiendra les tragiques disparitions de Jordan et Sullivan après la rencontre. 5è au classement final, le LOSC décroche son billet pour la nouvelle UEFA Europa League. Parallèlement, l’avenir du club prend une tournure encore plus concrète, avec le vote de LMCU en faveur du projet pour la construction du Grand Stade Lille Métropole. Au sortir d’un exercice 2009-2010 de tous les records (meilleure équipe à domicile, 105 buts inscrits toutes compétitions confondues, 70 points en L1…), l’écurie lilloise élève son niveau de jeu en UEFA Europa League. Victorieux de Fenerbahçe (2-1, 1-1) en 1/16es et de Liverpool (1-0) en 8es aller, les Dogues tombent la tête haute à Anfield Road (3-0) et quittent la compétition par la grande porte. En L1, le LOSC termine 4è et se qualifie pour sa 7e campagne européenne en dix ans. Sur un plan structurel, le projet du Grand Stade Lille Métropole entre dans la phase du concret : le 17 décembre 2009, les maires de Lezennes et Villeneuve d’Ascq, Marc Godefroy et Gérard Caudron, annoncent la signature du permis de construire. Les travaux sont lancés fin mars 2010.









2009-2010
4e du championnat de Ligue 1 avec 70 points, qualifié pour l’UEFA Europa League, 1/32e de finaliste de la Coupe de France contre Colmar, ¼ de finaliste de la Coupe de la Ligue contre Marseille.





2010-2011
Enrichi de Moussa Sow et de David Rozehnal, le groupe lillois poursuit sa montée en puissance qu’il matérialise par l’obtention d’un doublé historique ! Vainqueur de la Coupe de France face au PSG (0-1), le LOSC est sacré Champion de France une semaine plus tard au Parc des Princes. L’image forte de cette saison 2010-2011 passionnante est celle d’une formidable communion entre les hommes de Rudi Garcia et le peuple lillois, uni derrière son équipe dans une gigantesque vague rouge.









2011-2012
Auréolé du doublé Coupe de France-Championnat 2011, le LOSC assume avec brio son nouveau statut en se mêlant à la lutte pour sa propre succession jusqu’à l’avant dernière journée. Renforcé par des joueurs de talent tels que Cole, Payet, Pedretti ou Basa, le LOSC termine finalement sur la 3e marche du podium. Les Dogues accomplissent ainsi une saison de qualité (72 buts inscrits, 39 buts encaissés), ponctuée par une brillante série d’invincibilité de 17 matchs en L1 (entre août et décembre 2011).
Pour son dernier exercice au Stadium Lille Métropole (18 rencontres à guichets fermés sur 23, un record !), le club lillois vit également une campagne d’UEFA Champions League pleine d’enseignements face à l’Inter Milan, Trabzonspor et au CSKA Moscou.
La saison est aussi marquée par l’explosion du phénomène Hazard. Meilleur joueur de L1 en 2011, la pépite belge (20 buts) récidive en 2012 avec à la clé, le titre de passeur le plus prolifique de L1 (15 offrandes). Outre l’éclosion du jeune Digne (18 ans), Debuchy confirme qu’il figure bien parmi les meilleurs défenseurs français. Il gagne même sa place de titulaire en équipe de France pour l’Euro 2012.

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Palmarès

• 3 titres de Champion de France de 1ère Division (1946, 1954 et 2011)
• 5 titres de Champion de France de 2e Division (1964, 1971, 1974, 1978 et 2000)
• 6 coupes de France (1946, 1947, 1948, 1953, 1955 et 2011)
• 4 participations à l'UEFA Champions League dont un 1/8e de finale en 2006/2007
• 1/8e de finale de l'UEFA Europa League en 2009/2010
• 1/8e de finale de l'UEFA Cup en 2001/2002, 2004/2005 et 2005/2006
• Vainqueur de l'Intertoto Cup en 2004


Saison 2011-2012
• Troisième du Championnat de Ligue 1 avec 74 points
• Qualifié pour le tour de barrage de l'UEFA Champions League
• Phase de poules de l'UEFA Champions League
• 1/8e de finale de la Coupe de France contre Valenciennes FC
• 1/4 de finale de la Coupe de la Ligue contre l'Olympique Lyonnais

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Domaine de Luchin

L’excellence, à tous les niveaux

Entre patrimoine eurorégional et sport de très haut niveau, bienvenue au Domaine de Luchin, le nouveau centre de vie du LOSC. Niché au coeur de 43 hectares de verdure, le nouveau siège du club lillois hisse haut les valeurs d’excellence défendues par Michel Seydoux, président du LOSC : pierre angulaire du projet européen du club avant l’arrivée du grand stade en 2012, le site de Camphin-en-Pévèle fait figure de modèle en la matière, en France comme ailleurs. Unique en son genre, il réunit dans un même espace – une ferme du XIXe autour de laquelle gravitent des équipements exceptionnels – toutes les forces vives du club. Staffs sportif, médical, administratif, jeunes du centre de formation, prestataires associés… Au total, près de 200 professionnels au service d’un double objectif : ancrer au coeur de la région le club européen qu’elle mérite et le faire briller, au plus haut niveau. Plus que jamais, l’histoire se joue maintenant.

Optimiser les performances

Véritable concentré de technologies sportives, le Domaine de Luchin a été spécifiquement conçu pour mettre à la disposition des joueurs professionnels des espaces de travail et de récupération de tout premier ordre. Répartis sur 700 m2 exclusivement réservés aux hommes de Rudi Garcia ainsi qu’aux équipes techniques et médicales, des vestiaires design, salles de soins et de musculation (avec accès direct à une piste d’accélération), balnéothérapie, espace détente… Le must en matière de technologie. À l’extérieur ? Plaine de jeux en gazon naturel, terrain synthétique, terrain d’Honneur, fosse pour l’entraînement des gardiens, sans oublier d’autres espaces - rarissimes en France – comme une "piste finlandaise" de footing sur près de 3 km et un chemin VTT, une piste inclinée "force-vitesse", une piste d’athlétisme 4 couloirs… L’idéal pour progresser vers l’excellence et viser toujours plus haut.

Devenir les meilleurs

Fidèle à sa très exigeante politique de formation, le LOSC propose aux jeunes pousses lilloises des infrastructures dignes des plus grands clubs européens. De fait, la trentaine de stagiaires bénéficie, au coeur même du Domaine de Luchin, de près de 3000 m2 dédiés à leur progression sportive et scolaire. Classes équipées, espaces d’études, salles de détente, restaurant, rien n’a été laissé au hasard. Par ailleurs, 26 chambres tout confort garantissent à chacun un hébergement de grande qualité, facteur de bien-être indispensable pour ces jeunes candidats au succès. Côté sportif, en plus de tutoyer le quotidien des joueurs pros tout proches (un puissant moteur de motivation), les jeunes stagiaires profitent d’équipements, ici aussi, de premier plan : 3 terrains d’entraînement dont 2 en gazon naturel, 1 synthétique, salles de musculation, une piste d’athlétisme 4 couloirs… Sur le terrain de la formation aussi, le Domaine de Luchin vise plus que jamais les premières places.

Gagner en proximité

Pour le LOSC, jamais le mot collectif n’a eu autant de sens qu’au Domaine de Luchin. Ainsi, l’ensemble du personnel administratif du club évolue au contact direct du sportif comme de la formation. A la disposition de la cinquantaine de salariés du LOSC, 1 700 m2 spécialement consacrés à la bonne marche de l’entreprise : bureaux, salles de réunions, restaurant, amphithéâtre pour les occasions prestigieuses… Ici, tout a été pensé pour travailler collectif, et pour que chacun progresse dans un environnement propice à l’efficacité. Direction, recrutement, juridique, organisation, finance, commerce, communication, marketing… Tous les savoir-faire s’expriment dans les meilleures conditions. Dans les bureaux aussi, les valeurs du LOSC sont à l’honneur : chacun mesure précisément sa contribution à la réussite du club.

Informer en temps réel

Un club aussi ambitieux que le LOSC se devait de bénéficier d’outils de communication à la hauteur de ses objectifs européens. Mieux qu’un long discours, les équipements à la disposition des journalistes comme des équipes média du LOSC illustrent l’exigence maison en la matière. Salle de presse high-tech avec écran plat, studio TV multi fonctionnel, salles de montage pour le staff de reporters d’images de LOSCTV, réseau d’information dynamique… Le tout, bien sûr, à proximité directe des lieux de vie des joueurs. Pour tous les professionnels de la presse, le Domaine de Luchin s’impose comme un espace de rencontres, d’échanges et de débats privilégié. Rien de tel pour exercer l’art d’informer, le plus agréablement possible.

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Grand Stade Lille Métropole

Le football de demain a trouvé son écrin

Pour le LOSC, le Grand Stade Lille Métropole s’impose, au-delà des ambitions sportives qu’il rend possible, comme le symbole parfait du sport professionnel de haut niveau tel que défendu par le club depuis de longues années. Le LOSC de demain, dont la vocation européenne hisse le curseur des exigences sportives et entrepreneuriales au top niveau, souhaite ouvrir la voie en donnant corps à une vision de la compétition footballistique inédite en France. A l’image - somme toute symbolique - des dernières aventures en Ligue 1 du LOSC au Stade de France où le Club, à deux reprises, a battu des records d’affluence absolu en Ligue 1 (78 056 spectateurs en mars dernier lors de la victoire des Dogues face à l’OL), le Grand Stade Lille Métropole apparaît comme la pierre angulaire de l’édifice international bâti saison après saison depuis 2002. En effet, s’y dérouleront des rencontres sportives prestigieuses dans des conditions de confort dignes des enceintes les plus admirables au monde. Pour le LOSC, ce sera l’écrin idéal pour faire vivre un football aussi populaire que familial, enthousiasmant et qualitatif. Il offrira des conditions d’accueil, de services et de sécurité optimales : rien de tel pour proposer ce football festif, spectaculaire et interactif dont a besoin la discipline pour concurrencer à armes égales les ligues européennes majeures. En un mot comme en cent, le Grand Stade Lille Métropole, ultra-moderne, en phase avec les réalités économiques du football de demain, balise le chemin vers la réalisation des ambitions sportives, médiatiques, culturelles, économiques et touristiques de toute l’Eurorégion.

Plus que jamais, l’histoire se joue maintenant.

Pour la capitale des Flandres, le football français et le LOSC, le vote de rassemblement du 1er février 2008 s’est imposé comme une étape éminemment décisive de leur destinée respective : leurs ambitions européennes sont désormais communes. A 82,04%, les élus communautaires ont en effet retenu le projet proposé par EIFFAGE, particulièrement multifonctionnelle et design, pour le site de la Borne de l’Espoir. Avec ses 50 186 places et ses irrésistibles innovations techniques, l’arène - unique au monde - a rallié quasiment tous les suffrages. Si l’histoire se jouait le 1er février, elle est à présent en marche

Unique au monde !

Particularité du projet EIFFAGE : l’enceinte est équipée d’un toit mobile composé de 2 demi-toitures dont la fermeture s’effectue en 30 minutes. Ça, c’est une première en France qui change tout à l’heure de donner des garanties d’accueil totales aux grands spectacles, quelles que soient les conditions météo. Personne d’autre ne propose cette option dans le pays, et on mesure aisément l’impact d’un tel atout dans l’esprit des organisateurs de shows géants où rien, jamais, ne doit être laissé au hasard. Mais ce n’est tout, et ce qui vient est unique au monde : le terrain lui aussi est mobile, sur une moitié de sa surface. Une fois soulevé et superposé au dessus de l’autre partie, il laisse apparaître une "boîte à spectacle" : des gradins, une aire de jeu de type terrain de basket et handball... Du jamais vu. Ne cherchez pas la multifonctionnalité, elle est partout ! Muni d’un immense parvis, sorte de dôme recouvrant les espaces logistiques et abritant les circulations piétonnes, le projet EIFFAGE optimise aussi la circulation vers les parkings.

Par ailleurs, le projet développe un programme d’espaces annexes : abrités dans 3 immeubles, des pôles sportifs, hôteliers, santé, restauration, commerces, loisirs... Il ne manque rien pour l’essor économique de la métropole. Développement durable oblige, le projet présente enfin l’originalité d’une production d’électricité autonome, grâce à 2 éoliennes et une installation solaire photovoltaïque. Dans tous les cas, on peut déjà affirmer que la construction du Grand Stade sera un élément clé dans la candidature de la France à l’Euro 2016. Une bonne nouvelle qui répondra à la fois aux aspirations de Bernard Laporte, secrétaire d’Etat aux Sports, qui souhaite voir notre pays accueillir cette compétition, et Jean-Pierre Escalettes, Président de la FFF, qui ne conçoit cet objectif réalisable que si la France modernise son parc de stades. Indéniablement, le projet EIFFAGE confirme son rôle de turbine économique et d’accélérateur de projets.

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Organigramme du LOSC

Président Directeur Général

Michel Seydoux.png (75.81 Kio) Vu 3984 fois

Conseiller Sportif du Président
Directeur du Centre de Formation

Jean-Michel Vandamme.png (45.04 Kio) Vu 3984 fois

Directeur Général Adjoint
Direction Administrative et Sportive

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Directeur Général Adjoint
Direction des opération

Didier De Climmer.png (46.62 Kio) Vu 3984 fois

Directeur Administratif et Juridique

Julien Mordacq.png (51.65 Kio) Vu 3984 fois

Directeur Financier

Reynald Berghe.png (52.97 Kio) Vu 3984 fois

Directeur de la Communication et de la Marque

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Directeur Grand Stade Rayonnement

Guillaume Gallo.png (41.92 Kio) Vu 3984 fois

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Encadrement Technique

Entraineur

Rudy Garcia

Entraineurs adjoint

Frédéric Bompard


Claude Fichaux

Préparateur Physique

Grégory Dupont

Entraineur des gardiens

Jean-Pierre Mottet

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Effectif 2012-2013

Gardiens de but

1. Mickaël Landreau


16. Vincent Enyeanma


30. Barel Mouko


40. Steve Elana

Défenseurs

??. Jerry Vandam


2. Mathieu Debuchy


3. Lucas Digne


6. Pape N'Diaye Souaré


13. Bakary Adama Soumaoro


14. David Rozenhal


15. Djibril Sidibé


18. Franck Béria


21. Laurent Bonnart


22. Aurélien Chedjou


25. Marko Basa

Milieux de Terrain

4. Florent Balmont


5. Idrissa Gana Gueye


10. Marvin Martin


17. Benoit Pedretti


24. Antonio Rio Mavuba

Attaquants

7. Dimitri Payet


8. Salomou Kalou


9. Tulio De Melo


19. Gianni Bruno


20. Ronny Rodelin


23. Nolan Roux


28. Dorian Klonaridis


29. John Jairo Ruiz

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Transferts Eté 2012

Arrivées

Marvin Martin (Sochaux -> 10 M€)



Départs

Eden Hazard (40 M€ -> Chelsea)


Ireneuz Jelen (Fin de Contrat)


Joe Cole (Retour Prêt -> Liverpool)


Mauro Cetto (Retour Prêt -> Palerme)

[Raizers]

Le gardien de Brest ne devais pas allez aux losc ?