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Modérateur: Lord casa
Invité a écrit:Des mois que j'écris pas, des mois que j'attends patiemment ce moment où je pourrais enfin dire que ça y est la page s'est tendrement tournée...
Cette page c'est celle de Gerland... je le fais aujourd'hui que ma voix m'a quitté l'espace de 24h, je le fais aujourd'hui alors qu'hier j'ai vu, j'ai compris et j'ai réalisé dans quelle dimension on venait de tomber.
Bien loin des dollars à foison, bien loin des princes, des mécènes et des stars intergalactiques, j'ai compris ce que l'OL était devenu, ce que son publique était devenu et grâce à quoi...
Ce que j'ai vécu hier, la PUISSANCE, la FÉROCITÉ, l'insoutenable PRESSION et cet invraisemblable VACARME ininterrompu je le dois à un lieu qui aura mis 6 mois à devenir un insurmontable obstacle reconnu et un terrain redouté en France et je l'espère voué à être un tombeau européen.
Je le dois à ce stade mais aussi au gens, aux supporters au lyonnais des 4 tribunes qui se sont fais électrisés par ce mastodonte... Et j'ai compris alors quel inénarrables moments j'allais passer à jubiler à l'avenir. Hier j'étais ailleurs, hier j'étais dans un cratère ROUGE ET BLEU, hier j'ai vu des choses que JAMAIS de ma vie en 23 ans de Gerland je n'ai vu. Hier j'ai vu le frisson partir des deux virage et se répandre comme une traînée de poudre le long des travées, des bourgeois aux populaires.
j'ai d'abord vu un AHOU d'un autre monde, ou 57 000 personnes frappent dans leur mains de RAGE... j'ai ensuite vu la foudre s'abattre... la foudre, l'explosion, le FEU, l'incandescence quand Ghezzal Marque et que ce souffle, CE SON d'une puissance qui a alors DECHAINÉ le peuple et rendu complètement taré nos joueurs sur le terrain...
j'ai alors compris qu'on avait là LE LIEU POUR "ALLER A LA GUERRE". Celle qu'on prépare des semaines à l'avance, celle qui fait monter la pression, et celle qui CONCASSE l'adversaire parce qu'on SAIT que OUI on va souffler la tempête parce qu'on en a les moyens, des moyens humains colossaux et insoupçonnés.
OUI on peut entasser 57 000 lyonnais dans un stade, et oui on peut y foutre le BORDEL qu'on ai payé 15 euros ou 300 euros.
J'ai senti un tel décalage de FORCE sur le terrain, j'ai senti des joueurs VOLER, j'ai senti des joueurs être persuadés d'être invincibles de la première à la dernière minute.
Et j'ai changé de pays... oui j'ai changé de pays quand à l'orée d'une envie de Grec au nord, j'ai alors vu aux quatre coins du stade jusque dans les loges des gens se retourner et faire une grec MONSTRUEUSE même de quelques instant. INVRAISEMBLABLE et INIMAGINABLE MOMENT. Le frisson absolu quand au milieu du match les mains se lèvent et les gens se lèvent... les bras en l'air comme possédés, programmés, guidés et que le AHOU retenti en plein match par quatre tribunes...
QUATRE TRIBUNES...
Quelle fierté, quelle gigantesque fierté au moment ou le velodrome sonne le vide, que le parc s'est éteint, que Lille et Bordeaux jouent dans un cercueil et que les verdâtres en sont réduit à un stade de campagne, bruyant simplement.... Bruyant...mais tellement vert et taillé pour un autre âge......
Cette ferveur... Ces drapeaux, cette envie de 7 a 77 ans d'y être... Cette masse de gens arrivant au stade fiers comme des enfants. Ces chants qui montent sur le parvis du virage nord. Ces Lions, ces écharpes... cette atmosphère quand en rentrant dans l'enceinte, la sérénité de la force tranquille vous enveloppe... Sentir l'adversaire se chercher de la motivation en vain, à ne pas simplement se laisser marcher dessus et passer à autre chose.
Ces qui ne sautent pas qui vous rappel furieusement aux plus belles heures de spontanéité de Gerland.
Hier je me suis senti FORT, je me suis senti PLEIN, je me suis senti des MILLIERS, je me suis senti STADE, l'envie d'HURLER A LA MORT, je me suis senti LEUR SOUFFLER dans le dos, hier je me suis senti le 12eme comme RAREMENT en plus de 20 ans. Comme un standard et un acquis que dorénavant, jouer au ParcOL c'est beau, c'est incroyable autant qu'insurmontable.
Hier je me suis sentis rendre FOUS nos joueurs, je me suis sentis encore plus fier de partir du stade et voir les tramway sauter les voitures klaxonner, les gones chanter et continuer la ferveur dehors jusque dans chaque rames comme un dep...
Ce stade nous portera, nous emmènera loin, TRES LOIN, ce stade renversera des montagnes, ce stade bouleversera la donne, ce stade redistribuera les cartes, ce stade est voué à devenir THE PLACE TO BE pour NOUS, pour les autres, pour les journaleux, pour les médias, on a aujourd'hui, au cœur de notre club, un futur TEMPLE, un tas de magma en fusion en sommeil qui pourrait à l'avenir donner un souffle juste historique à notre club. En 6 mois j'y ai vécu de beau moment... Paris est devenu un grand moment... Hier j'ai vécu un de ces RARES MOMENT qui resteront GRAVÉS DANS MON MARBRE comme le premier fabuleux et magique moments de supporters dans ce stade.
HIER
JE ME SUIS SENTI AVOIR UN NOM
LE MÊME QUE 57 000 GONES, APPELEZ LE PARC OL ou P.O.L, DONNEZ LUI COMME LE SUD LE NOM DES TRIBUNES DE GERLAND MEME (quand il appela Jean Jaures a s’exhorter, ces derniers y répondant immédiatement). APPELEZ LE COMME VOUS LE SOUHAITEZ JE SUIS D'ACCORD...
ON A UN STADE STRATOSPHÉRIQUE....
ALLER L'OL...
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